Navigation – Plan du site

AccueilNuméros hors-sérieHors-série 34. Corpus et problématiquesDes tombes chasséennes attestées ...

4. Corpus et problématiques

Des tombes chasséennes attestées dans le Toulousain

Fabrice Pons, Muriel Gandelin et Jérôme Rouquet
p. 84-89

Texte intégral

1Jusqu’à récemment, la quasi-totalité des sépultures chasséennes découvertes dans le Toulousain, 25 au total, provenait de structures dont la fonction initiale n’était pas funéraire. Près de 50 ans après la première sépulture chasséenne fouillée dans le Midi de la France par L. Méroc à Villeneuve-Tolosane (2008), une aire d’inhumation a enfin été mise au jour lors d’une vaste opération de fouille préventive à Sauzas (Blagnac, Haute-Garonne). Cet ensemble, reconnu sur environ 150 m², dans un secteur où n’avait été mis en évidence aucun élément de cette période, rassemble six tombes situées à l’écart des zones d’habitats néolithiques et totalement insoupçonnées [Fig.1].

[Fig.1] Plan général des témoins d’occupations néolithiques découverts à Sauzas (Blagnac, Haute-Garonne).

[Fig.1] Plan général des témoins d’occupations néolithiques découverts à Sauzas (Blagnac, Haute-Garonne).

Ces structures, au nombre de 450, correspondent aux traces laissées par plusieurs passages de groupes humains sur une longue période, probablement plus d’un millénaire. Ils sont disséminés sur une surface supérieure à cinq hectares, sans structure de délimitation.

F. Pons, Inrap

Des tombes sous tertre ?

2Les tombes identifiées ne se recoupent pas. Quatre sont distantes de 1 à 3 m, installées en enfilade selon un axe grossièrement orienté est-ouest. Les deux autres sont implantées plus au sud, à moins d’une dizaine de mètres des précédentes pour la sépulture la plus méridionale [Fig.2]. D’après l’emprise de la fouille, il n’est pas impossible, que l’aire funéraire se développe encore plus au sud de cette dernière. En revanche, les décapages réalisés vers l’ouest et le nord n’ont pas fourni les indices d’une extension de la zone funéraire dans ces directions.

[Fig.2] L’aire sépulcrale chasséenne (zone 5) est située à l’écart des zones d’habitats, dans un secteur encore occupé au Moyen Âge.

[Fig.2] L’aire sépulcrale chasséenne (zone 5) est située à l’écart des zones d’habitats, dans un secteur encore occupé au Moyen Âge.

Certaines tombes ont été vraisemblablement en partie détruites à cette époque.

F. Pons, Inrap

3Les sépultures les mieux documentées se caractérisent par une structure formée d’un amas, parfois assez dense, de galets. Prélevés sur les berges de la Garonne, ceux-ci sont d’un module constant, indice probable d’une certaine sélection. Ils recouvrent directement la quasi-totalité du squelette et une partie du mobilier d’accompagnement [Fig.3]. L’absence de sédimentation importante laisserait supposer qu’ils ont été déposés directement sur le corps du défunt. Mais l’écrasement de certains vases d’accompagnement, provoqué par l’affaissement des galets, s’explique seulement par la présence de vides à l’intérieur du loculus après la fermeture de la tombe, hypothèse en partie corroborée par les déplacements importants de certaines pièces squelettiques. Cette couverture ne pouvait être maintenue au-dessus du dépôt funéraire qu’à l’aide d’une armature de soutien probablement réalisée en matériaux périssables (platelage de bois, coffrage...) qui en assurait la fermeture effective. La disposition des galets suggère également l’existence d’un léger creusement avec des effets de paroi nettement visibles. De plan sensiblement rectangulaire, cette fosse sépulcrale ne devait pas excéder une vingtaine de centimètres de profondeur.

[Fig.3] La sépulture 5151 était recouverte par des galets probablement disposés à l’origine sur un système de fermeture en matière périssable.

[Fig.3] La sépulture 5151 était recouverte par des galets probablement disposés à l’origine sur un système de fermeture en matière périssable.

O. Dayrens, Inrap

Des inhumations dans la tradition du Chasséen méridional

4Les inhumations présentent une grande homogénéité. Le corps du défunt est orienté selon un axe sud-nord, tête au sud. Il repose systématiquement sur le côté gauche, membres supérieurs et inférieurs fléchis en un semblant de position fœtale [Fig.4]. Cette position est très majoritaire dans le Toulousain (19 cas sur 26 documentés) et quasi exclusive chez les adultes puisque 16 sur les 20 recensés adoptent cette position.

[Fig.4] Les défunts sont le plus souvent inhumés sur le côté gauche, membres inférieurs fléchis, pieds ramenés sous le bassin et mains au niveau du visage.

[Fig.4] Les défunts sont le plus souvent inhumés sur le côté gauche, membres inférieurs fléchis, pieds ramenés sous le bassin et mains au niveau du visage.

Les déplacements importants observés ici sur les membres inférieurs semblent indiquer que la décomposition de cette partie du corps s’est déroulée dans un espace vide.

O. Dayrens, Inrap

5Lorsqu’il a pu être caractérisé, l’espace de décomposition s’est toujours révélé vide. Ces inhumations sont toutes des sépultures individuelles de sujets adultes, sauf une qui a livré les restes de deux individus, un homme et un enfant (âgé de 1 à 4 ans) [Fig.5]. Le statut de ce dernier soulève des interrogations dans la mesure où il semble avoir été déposé en même temps et au même endroit que le mobilier d’accompagnement du sujet adulte. Il enrichit le débat sur les morts d’accompagnement au sein des sépultures chasséennes.

[Fig.5] Cette tombe recelait les restes de deux sujets, un adulte et un enfant déposé dans l’angle nord-ouest de la fosse.

[Fig.5] Cette tombe recelait les restes de deux sujets, un adulte et un enfant déposé dans l’angle nord-ouest de la fosse.

Elle comprenait un mobilier sépulcral composé d’une lame de hache polie, d’une armature de flèche tranchante en silex et de deux vases. Ceux-ci ont été retrouvés en position fonctionnelle au pied de l’adulte et en partie sous les restes de l’enfant.

O. Dayrens, Inrap

Un riche mobilier d’accompagnement

6Toutes les sépultures comprennent du mobilier d’accompagnement, dans lequel il demeure difficile de distinguer, d’un côté, celui qui a été déposé « en offrande » afin d’accompagner le défunt dans l’au-delà (« viatique ») et, d’un autre côté, celui qui provient des attributs personnels du défunt.

7La présence de vases s’avère systématique. Ces objets ont sans doute été déposés entiers même si, dans la plupart des cas, une partie seulement se trouve conservée. Ils semblent avoir été placés en position fonctionnelle comme peuvent le suggérer les récipients destinés à recevoir des offrandes alimentaires [Fig.5]. On les retrouve près des pieds du défunt sauf un cas de dépôt au niveau de la tête. Au nombre de 2 à 4 exemplaires par sépultures, ces récipients comptent des écuelles carénées, des coupes, des vases à col, des vases globuleux, des micro-vases et une coupe à socle. Ce vaisselier évoque la vie domestique, mais présente aussi parfois un caractère exceptionnel : plusieurs exemplaires relèvent d’un type rare, voire inédit. Il est probable que ces vases constituent, au même titre que leur contenu, une offrande en tant que telle et qu’ils n’ont pas seulement la fonction de contenant.

8Quatre sépultures recelaient également des objets lithiques : lames de hache, sphéroïde, armature de flèche, lame et lamelles en silex blond…

9Les deux lames de hache proviennent des sépultures de sujets masculins. Le caractère guerrier de cet élément ne doit cependant pas être exagéré car il est lié avant tout à la déforestation et aux travaux agricoles et domestiques. Elles étaient placées dans une même position, à gauche du crâne et à proximité des membres supérieurs, le tranchant tourné vers l’extérieur. Elles ont peut-être été déposées emmanchées et elles portent des traces d’utilisation. Ces pièces ne sont pas d’une taille, d’un poli ou d’un matériau remarquables et peuvent donc être qualifiées de « communes ».

10Plus exceptionnel, un sphéroïde perforé et soigneusement poli accompagnait le défunt de la sépulture 5151 [Fig.6]. Sa position de chant, lors de sa découverte, laisse penser qu’il était emmanché au moment de son dépôt dans la tombe. La présence de cet élément soulève de nombreuses questions puisqu’il évoque incontestablement les « casse-têtes », « têtes de massue » ou « war-clubs » américains et océaniens et il renvoie donc plus spécifiquement à une pratique guerrière.

[Fig.6] Le sphéroïde perforé découvert dans la tombe 5151 s’apparente au « casse-tête ».

[Fig.6] Le sphéroïde perforé découvert dans la tombe 5151 s’apparente au « casse-tête ».

Cette pièce est exceptionnelle car il s’agit du seul exemplaire indéniablement issu du contexte sépulcral dans le Chasséen garonnais.

O. Dayrens, Inrap

11Les autres mobiliers lithiques, lame et lamelle en silex blond bédoulien du Vaucluse et sénonien d’Aquitaine, armature et galet-outil, sont isolés et d’un type relativement courant. Que l’on considère les matières premières utilisées ou des morphotypes reconnus, ces pièces ne se distinguent en rien des productions découvertes en contexte domestique.

Les sépultures de Sauzas dans le contexte Toulousain

12Le site de Sauzas est le premier ensemble strictement funéraire, totalement dissocié de l’habitat, découvert en pays toulousain. Cette petite aire sépulcrale est unique et remarquable à plus d’un titre : l’architecture des tombes ne connaît pas d’équivalent régional ; la présence d’une zone d’inhumations, isolée, dotée d’aménagements funéraires vraisemblablement composés d’un tertre et d’un loculus aménagé par une structure rigide en matériaux périssables, constitue une originalité dans le Chasséen garonnais. Jusqu’à cette découverte, la pratique sépulcrale chasséenne était largement dominée par les sépultures installées dans des structures en réemploi, toujours localisées à proximité directe des lieux d’habitats (Vaquer et al., 2008). Seules les tombes « Bacrabère » et A185 de Saint-Michel-du-Touch (Toulouse), anciennement fouillées et mal documentées, présentent quelques points de comparaison avec celles de Sauzas, notamment dans l’utilisation éventuelle de couvertures en galets, bien qu’il ne soit pas possible d’appréhender l’architecture exacte de ces ensembles (Cap-Jédikian et al., 2008). Si l’on considère la chronologie de ce type de monument funéraire dans le Toulousain, il apparaît, d’après les datations absolues réalisées, qu’ils sont probablement postérieurs à 4050 avant notre ère. La typologie des mobiliers récoltés les rattache tous aux phases classique ou récente du Chasséen, ce qui pose la question de l’éventuelle postérité de ce modèle sur celui des sépultures en fosses réemployées, dont beaucoup se rattachent au Chasséen ancien. Toutefois la coexistence de plusieurs modes d’inhumation dès le début du Chasséen est patente au regard des données récoltées sur une échelle géographique plus large.

13Les six sépultures de Sauzas viennent s’ajouter aux 25 sépultures, dont trois doubles, déjà connues dans le Toulousain et appuyer des tendances précédemment soulignées (Vaquer et al., 2008). Fort de ces nouvelles données, si l’on considère la dotation en mobilier en fonction du sexe du défunt, abstraction faite des vingt et un individus pour lesquels aucune diagnose sexuelle n’est possible, il apparaît que, pour les quatorze individus restants, les haches sont systématiquement associées à des tombes masculines. Plus généralement, les industries lithique et macro-lithique (armatures, lames, haches, sphéroïde) apparaissent comme des attributs masculins. A contrario, la parure semble un élément plus spécifiquement féminin, mais se retrouve également chez les enfants pour lesquels le mobilier reste, cependant, très rare. La présence de céramique et d’outillage en os est commune aux deux sexes. Toutefois, l’échantillon considéré n’est pas très significatif du point de vue statistique et l’on peut imaginer que des découvertes à venir viendront confirmer ou infirmer certaines de ces tendances. Pour l’instant, il n’est pas possible de mettre en évidence une relation entre le type d’aménagement funéraire et une éventuelle sélection sur des critères biologiques. Les inhumations en fosses ou dans les fossés d’enceintes concernent aussi bien les enfants que les adultes des deux sexes. Les sépultures à aménagement de galets concernent, dans deux cas, des individus masculins, mais la proportion d’indéterminés est telle (8 sur 10) qu’il est impossible d’en tirer une généralité.

14De façon certaine, les sépultures de Sauzas renouvellent considérablement les données jusque-là disponibles et remodèlent la perception que l’on pouvait avoir des pratiques funéraires du Chasséen garonnais. Cette découverte relance notamment la question de la variété des modes d’inhumation existant à cette période et il apparaît clairement que le type le mieux documenté jusqu’à présent dans le Toulousain (sépultures dans des structures excavées en réemploi) ne traduit probablement pas la pratique la plus fréquente des populations chasséennes. Au regard de la durée et de la densité d’occupation des grands sites d’habitats chasséens garonnais – Villeneuve-Tolosane et Cugnaux, Saint-Michel-de-Touch (Toulouse) ou Château-Percin (Seilh) –, les structures funéraires apparaissent très limitées : une vingtaine de sépultures pour plus de deux mille structures archéologiques fouillées. La coexistence habitat/sépulture est toutefois récurrente dans tout le Midi de la France en contexte chasséen sans qu’il soit réellement possible de déterminer s’il s’agit d’une pratique opportuniste ou d’une pratique codifiée réservée à certains défunts. Il apparaît toutefois clairement, dans le Toulousain, que les sépultures à « creusement spécifiquement funéraire » du type de celle de Sauzas sont beaucoup plus richement dotées que les sépultures installées dans des structures en réemploi ; bien que ces dernières ne soient pas exemptes d’offrandes. Alors que le premier type concentre l’essentiel du mobilier (8 tombes regroupant 55 objets, soit une moyenne de 7 objets par sépulture), le second (23 structures funéraires et 43 objets, soit une moyenne de 2 objets par sépulture) est beaucoup plus pauvre et la céramique, seul élément attestant clairement d’un éventuel viatique, y demeure très indigente. Aussi peut-on s’interroger sur la différence de statut qui pouvait exister entre les individus inhumés dans les fosses réemployées, pauvres en mobilier, et ceux inhumés dans les aménagements spécifiquement sépulcraux au sein de zones réservées, avec un mobilier funéraire beaucoup plus abondant. La possibilité de la présence d’un enfant subordonné à un adulte masculin dans l’une des sépultures de Sauzas est également un fait nouveau qui relance le débat sur l’existence possible de morts « d’accompagnement » en contexte chasséen garonnais.

15La mise au jour de la zone sépulcrale de Sauzas s’inscrit dans une dynamique plus générale liée aux nombreux travaux récents d’aménagement du territoire toulousain qui ont conduit, ces dernières années, à plusieurs découvertes majeures réalisées par les équipes de l’Inrap. Pour la période du Néolithique moyen, la fouille récente de l’enceinte de Château-Percin (Gandelin et al., sous presse) et la mise en évidence de son caractère comminatoire, voire défensif, ont permis d’envisager l’existence d’une société potentiellement instable, peut-être soumise à des conflits. Dans ce contexte, la distinction de certains individus et la mise en place progressive d’une hiérarchie sociale peuvent être envisagées. L’apparition de biens de prestige mais aussi la différence de traitement post mortem, telle qu’elle a été mise en évidence grâce aux fouilles de Sauzas, pourraient ainsi témoigner de ce phénomène. La multitude et la complexité des facteurs qui sous-tendent les pratiques funéraires ne permettent toutefois pas, à l’heure actuelle, de mettre en regard la variété des modes sépulcraux et l’organisation sociale des groupes néolithiques méridionaux.

Haut de page

Bibliographie

cap-Jedikian G., Perrin T., Remicourt M., Servelle C., 2008 : « Révision des données disponibles sur les aménagements funéraires du site de Saint-Michel-du-Touch (Toulouse, Haute-Garonne) », in Vaquer J., Gandelin M., Remicourt M., Tcheremissinoff Y. (dir.), p. 180-196.

Gandelin M., Pons F., De Chazelles C.-A., Sous presse : « L’enceinte chasséenne de Château-Percin. Un témoignage exceptionnel d’architecture monumentale néolithique en Haute-Garonne », Archéopages, 33, p. 12-17.

Vaquer J., Gandelin M., Remicourt M., Tcheremissinoff Y.( dir.), 2008 : Défunts néolithiques en Toulousain. Toulouse, Archives d’écologie Préhistoriques, 234 p.

Haut de page

Table des illustrations

Titre [Fig.1] Plan général des témoins d’occupations néolithiques découverts à Sauzas (Blagnac, Haute-Garonne).
Légende Ces structures, au nombre de 450, correspondent aux traces laissées par plusieurs passages de groupes humains sur une longue période, probablement plus d’un millénaire. Ils sont disséminés sur une surface supérieure à cinq hectares, sans structure de délimitation.
Crédits F. Pons, Inrap
URL http://journals.openedition.org/archeopages/docannexe/image/471/img-1.jpg
Fichier image/jpeg, 104k
Titre [Fig.2] L’aire sépulcrale chasséenne (zone 5) est située à l’écart des zones d’habitats, dans un secteur encore occupé au Moyen Âge.
Légende Certaines tombes ont été vraisemblablement en partie détruites à cette époque.
Crédits F. Pons, Inrap
URL http://journals.openedition.org/archeopages/docannexe/image/471/img-2.jpg
Fichier image/jpeg, 64k
Titre [Fig.3] La sépulture 5151 était recouverte par des galets probablement disposés à l’origine sur un système de fermeture en matière périssable.
Crédits O. Dayrens, Inrap
URL http://journals.openedition.org/archeopages/docannexe/image/471/img-3.jpg
Fichier image/jpeg, 564k
Titre [Fig.4] Les défunts sont le plus souvent inhumés sur le côté gauche, membres inférieurs fléchis, pieds ramenés sous le bassin et mains au niveau du visage.
Légende Les déplacements importants observés ici sur les membres inférieurs semblent indiquer que la décomposition de cette partie du corps s’est déroulée dans un espace vide.
Crédits O. Dayrens, Inrap
URL http://journals.openedition.org/archeopages/docannexe/image/471/img-4.jpg
Fichier image/jpeg, 1,1M
Titre [Fig.5] Cette tombe recelait les restes de deux sujets, un adulte et un enfant déposé dans l’angle nord-ouest de la fosse.
Légende Elle comprenait un mobilier sépulcral composé d’une lame de hache polie, d’une armature de flèche tranchante en silex et de deux vases. Ceux-ci ont été retrouvés en position fonctionnelle au pied de l’adulte et en partie sous les restes de l’enfant.
Crédits O. Dayrens, Inrap
URL http://journals.openedition.org/archeopages/docannexe/image/471/img-5.jpg
Fichier image/jpeg, 856k
Titre [Fig.6] Le sphéroïde perforé découvert dans la tombe 5151 s’apparente au « casse-tête ».
Légende Cette pièce est exceptionnelle car il s’agit du seul exemplaire indéniablement issu du contexte sépulcral dans le Chasséen garonnais.
Crédits O. Dayrens, Inrap
URL http://journals.openedition.org/archeopages/docannexe/image/471/img-6.jpg
Fichier image/jpeg, 392k
Haut de page

Pour citer cet article

Référence papier

Fabrice Pons, Muriel Gandelin et Jérôme Rouquet, « Des tombes chasséennes attestées dans le Toulousain »Archéopages, Hors-série 3 | 2012, 84-89.

Référence électronique

Fabrice Pons, Muriel Gandelin et Jérôme Rouquet, « Des tombes chasséennes attestées dans le Toulousain »Archéopages [En ligne], Hors-série 3 | 2012, mis en ligne le 01 janvier 2012, consulté le 19 avril 2024. URL : http://journals.openedition.org/archeopages/471 ; DOI : https://doi.org/10.4000/archeopages.471

Haut de page

Auteurs

Fabrice Pons

Inrap, Umr 5140

Articles du même auteur

Muriel Gandelin

Inrap, Umr 5608, Travaux et Rercherches Archéologiques sur les Espaces, les Cultures et les Sociétés, MSH Toulouse.

Articles du même auteur

Jérôme Rouquet

Inrap

Articles du même auteur

Haut de page

Droits d’auteur

Le texte et les autres éléments (illustrations, fichiers annexes importés), sont « Tous droits réservés », sauf mention contraire.

Haut de page
Rechercher dans OpenEdition Search

Vous allez être redirigé vers OpenEdition Search